Père Fouettard – Recherché mort ou vif

Sommaire :

  • Introduction
  • Le père Fouettard est noir
  • Les vérités qui dérangent
  • Unia
  • ONU
  • Conclusion

Étant en relation directe avec la présente rédaction, je vous invite à lire cet article sur la bêtise des polémiques concernant Halloween, si ce n’est déjà fait, en cliquant sur l’image ci-dessous :

Rub’Actu : Halloween et les fragiles
  • Introduction :

Nous voici face à une nouvelle polémique, cette fois, concernant la fête de Saint-Nicolas mais il n’y a là rien de surprenant étant donné la croisade contre les traditions et cultures chrétiennes ou, plus largement occidentales.

Mais que peut-on bien reprocher à une fête au sein de laquelle on offre des jouets aux enfants ? Et bien vous verrez, pour trouver des raisons de se plaindre, nos victimes et opportunistes professionnels habituels rivalisent d’ingéniosité.

Au sein de cet article, je me concentrerai sur le cas du père Fouettard.

  • Le père Fouettard est noir. Ô malheur ! Ô désespoir ! Cachez donc ce visage noir que je ne saurais voir.

Et oui ! Notre bon vieux père Fouettard est mis au banc des accusés, que dis-je, il a déjà été jugé coupable et ce, en n’ayant même pas eu droit à un procès équitable.
Coupable de quoi me demanderez-vous donc ? Coupable de représenter le méchant, l’abominable, le terrifiant et célébrissime racisme, allant même jusqu’à parler de « négrophobie structurelle », rien que ça.
En effet, l’assistant de saint Nicolas a le malheur d’être incarné par une personne noire ou grimée en noir. Cela serait une nouvelle preuve de notre société si intolérante, oppressive, raciste ; bref, vous connaissez sans doute le couplet, nous commençons à être habitué.

Alors qu’en est-il ?

Père Fouettard serait la perpétuation d’une oppression colonialiste.
Il est à savoir, tout d’abord, que ce personnage a de multiples origines ; le restreindre à du racisme serait un profond réductionnisme et le témoignage d’un ethnocentrisme communautaire qui viendrait s’attaquer à la culture du pays ainsi qu’au peuple natif de ses terres.
Mais n’oublions pas que les personnes à l’esprit victimaires ainsi que ceux et celles qui ont fait de la question du racisme et du révisionnisme de l’Histoire leur fond de commerce verront toujours ce qu’ils veulent voir.
Je m’explique :

  • si nous décidions de supprimer le père Fouettard, cela serait pour ceux qui considèrent le personnage comme étant une personne noire de peau, un stratagème afin d’invisibiliser la population noire, l’effaçant de notre culture, certain trouveraient donc encore le moyen de déclarer que cela serait un acte raciste.
    De plus, si père fouettard était réellement le témoignage d’un passé colonialiste et raciste, on pourrait alors aussi bien assimiler la suppression du personnage ou de la couleur de son grimage, comme étant un moyen d’effacer, de minimiser une partie du passé de certains pays d’occident. Cela serait donc une forme de révisionnisme, à nouveau cela pourrait être considéré comme étant du racisme …
  • si nous décidons de garder père Fouettard tel qu’il est traditionnellement, ces mêmes personnes continueront de provoquer en invoquant un prétendu passé colonialiste du personnage, ou l’identifieront à une figure caricaturale des personnes noires cela serait donc, encore et toujours, raciste.

Résultat, quelle que soit la décision prise, on pourra toujours critiquer le personnage.
Le racisme et sa prétendue lutte à son encontre est, à l’heure actuelle, un business juteux ; de nombreuses associations, professeurs et étudiants universitaires, organisations, médias, écrivains et politiques l’ont bien compris.
Cela est, de plus, un ingrédient essentiel dans la politique de globalisation qui nécessite une destruction des nations, des peuples qui les composent ainsi que ce qui détermine leur identité, cela s’effectuant au profit d’une minorité d’individus tant physiques que moraux bénéficiant de la libre circulation totale et décomplexée des capitaux, des services et des personnes. Ce pourquoi nous n’avons, d’ailleurs, plus de chef d’état mais bien de simples fonctionnaires interchangeables à la tête de nos pays.
Mais cela est un sujet particulièrement complexe qui alourdirait la présente rédaction. Je disserterai donc sur cette problématique ultérieurement.

Je vous avais dit aussi que le père Fouettard avait de multiples origines, l’une d’entre elles serait qu’il est ramoneur. La couleur noire de sa peau serait donc due à son passage dans les cheminées afin que saint Nicolas ne se salisse pas. A ce moment-là, où serait le racisme ?
Je tiens, ensuite, à rappeler que la Belgique est caractérisée par son passé avec les mines … de charbon.

Ensuite, pensons à nos compatriotes néerlandophones, leur père Fouettard se nomme « Zwart Piet » ce qui signifie « Pierre le noir ». Si on change la couleur de représentation de ce personnage, son nom n’a plus aucune signification et perd ainsi tout son sens ! C’est une attaque directe à leur folklore. Cela serait aussi aberrant et stupide que d’enlever la croix de la mitre de saint Nicolas, alors que celui-ci est un « saint » et que cela est même compris et affirmé au sein de son nom …

Je suis une personne tolérante mais cachez donc cette croix qui rempli mon corps d’effroi …

Cette polémique me rappelle une anecdote personnelle que je vais vous partager.
Mon grand-père paternel, immigré italien, travaillait à l’époque au fond des mines belges. Ce qui, par ailleurs, aura raison de sa vie. (C’était l’un des « privilèges » de nos ancêtres blancs. Et dire qu’aujourd’hui, les immigrés et leurs descendants se plaignent des couleurs de sparadraps en allant toucher leurs allocations mais passons, ceci est une autre histoire).
J’en reviens à mon grand-père, ce dernier travaillait avec de nombreux autres mineurs, certains d’entre eux étaient des soldats de la Wehrmacht prisonniers de guerre mais il y avait aussi des italiens, des belges tant francophones que néerlandophones, des polonais, des ukrainiens et souvent il disait à ses fils – dont mon père – « au fond de la mine, on était tous noir » …

  • Les vérités qui dérangent :

Je tiens à préciser ceci : s’en prendre aux traditions, aux mœurs d’un pays et du peuple qui l’habite est un acte de colonisation, d’invasion et de destruction.
J’entends de plus, souvent, cet appel du fameux « droits aux minorités ».
Cependant, pourquoi les « blancs » n’auraient-ils pas les mêmes droits ?
Je tiens ainsi à rappeler que les « blancs » font partie des minorités à l’échelle mondiale et que les africains dominent démographiquement les européens et américains. Cela ne va certainement pas aller en s’améliorant étant donné que les prévisions sont alarmantes, en effet, les statistiques avancent le fait que les blancs, aux États-Unis, seront une minorité aux alentours de 2042 ; sans compter, évidemment, l’accroissement démographique du peuple africain et le faible taux de natalité dans les pays, entre autres, européens …
N’est-ce donc pas du racisme si des personnes ethniquement majoritaires à l’échelle mondiale et qui sont destinées à l’être davantage au fil des années obligent les réels peuples et ethnies minoritaires à détruire, changer leur culture sur leurs propres terres ?

Bien entendu, on me dira que je suis complotiste.
Le pire étant que ce qui se passe actuellement est une émanation de cette transition démographique, civilisationnelle et culturelle de nos pays occidentaux.
Évidemment, j’entends déjà au creux de mes douces oreilles, que cela n’est que justice pour les crimes que les « blancs » ont commis et que nous payons le prix de la colonisation.
Premièrement, ces arguments sont totalement fallacieux et j’en expliquerai les raisons au sein d’une prochaine rédaction.
Deuxièmement, il est étrange, que ces personnes si promptes à culpabiliser et incriminer les « blancs » de tous les maux n’aient pas le même courage et la même détermination lorsqu’il s’agit de condamner les invasions, traites et crimes des musulmans ou des africains eux-mêmes, ne serait-ce que sur les terres africaines et qui, par ailleurs, continuent à l’heure actuelle.

« Nous voyons que l’éducation du Mauritanien, dans toutes les phases de sa formation, est une éducation qui autorise l’esclavage, qui le sublime, qui le sacralise et qui le considère comme un sixième pilier de la religion musulmane. » Birman Dah Abeid (0.47 => 01.03 min)
Et voulez-vous connaître l’ironie ? C’est que c’est cette dame qui est à l’origine en France de la « Loi tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité » ; la reconnaissance de la traite oui, mais tant que cela concerne les blancs visiblement …

Même Andfré Versaille, l’auteur d’un blog du journal « Le Monde » a publié, au sein du club de Médiapart (des journaux de gauche voire d’extrême gauche) ceci :

Donc, les européens devraient être les seuls à faire pénitence ?
Ils devraient être les seuls à devoir porter le poids de l’héritage des méfaits de leur civilisation ?
Cela n’est qu’une manifestation, parmi tant d’autres, de ce qu’est le racisme antiblanc, ce même racisme qui est tout autant nié et tabou que ces traites dont on se refuse de parler, de reconnaître et d’analyser les dures réalités.
Il faut dire que ce sont les lobbys, associations et organisations antiblancs, anti-occident et anti-chrétiens qui possèdent le monopole de la victimisation, de la vision de l’Histoire et comptent bien les conserver, et tout cela, au service de la politique de globalisation qui se traduit, notamment, par de fortes immigrations continues et une destruction des nations.
Il est, par ailleurs, assez drôle de constater que ces prétendus humanistes, indigénistes, progressistes et « antiracistes » sont incapables de toute autocritique et préfèrent s’en prendre, dans le cas, par exemple, du père Fouettard, à un personnage inoffensif grimé en noir issu du folklore européen, plutôt que d’oser s’attaquer aux actuels esclavagistes violant, tuant, torturant, asservissant, femmes, hommes et enfants, dont une majorité de personnes noires, encore aujourd’hui.
Toutefois, il est, assurément, plus facile pour ces individus, bien au chaud dans leur fauteuil, armé de leur morale à géométrie variable et de leur Iphone hors de prix, de s’insurger en toute sécurité, d’un prétendu racisme, dans un État de droit face à des citoyens civilisés plutôt que d’affronter des dictatures, autres théocraties islamiques ainsi que les propres démons de l’Histoire de la civilisation dont ils sont issus …
Des individus qui se prétendent bienpensants mais qui choisissent les personnes et communautés qu’ils souhaitent défendre et attaquer selon leur origine ethnico-religieuse tout en se disant « antiraciste », « tolérant » et « égalitariste », préférant se battre pour les morts plutôt que pour les vivants.
En même temps, si les morts pouvaient parler, nul doute qu’ils exigeraient le silence de ces ignorants.

  • L’Unia :

Maintenant, passons à l’Unia, cette vaste blague que nos compatriotes flamands ont abandonnée et ce, à raison.

L’Unia est une institution publique « indépendante » (la bonne blague) et qui est, l’ancien « Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme » en Belgique.
Traduction, ils sont là pour les intérêts des étrangers et non des « natifs ».
Quelle est donc leur position concernant la polémique du père Fouettard ?

Pour une fois, comme quoi tout arrive, ils ont, timidement, « défendu » les droits de l’assistant de saint Nicolas.
On peut lire ceci sur un de leurs articles de 2016 :

« Nous avons examiné en 2014 déjà la question de la compatibilité de l’usage de la figure du Père Fouettard avec la loi anti-discrimination et/ou la loi antiracisme. La réponse est que dans la figure de Saint-Nicolas et du Père Fouettard, il ne peut être question d’une forme punissable de racisme ou d’une forme légalement prohibée de discrimination raciale. Les dispositions pénales contenues dans les articles 20 et 21 de la loi contre le racisme du 30 juillet 1981 exigent en effet une « intention spécifique (appelée dol spécial) », et ce n’est ici pas le cas. Ce serait le cas lorsque une représentation concrète de Saint-Nicolas et du Père Fouettard était associée à des propos ou à des actes punissables racistes. L’interdiction de discrimination au niveau civil sur base notamment de la couleur de peau ne serait d’application que si une personne est effectivement lésée par la fête de Saint-Nicolas, ce qui n’est pas davantage le cas. »

Mais bon, malheureusement, cela n’a guère duré longtemps, étant donné qu’en novembre 2019, Unia encourage désormais la dissolution du père Fouettard traditionnel.
Ainsi, on peut découvrir dans un article de SudInfo, une déclaration du porte parole de l’institution qui dit ceci : « Pour couper court à la polémique, certains ont décidé de grimer le noiraud des fêtes bruxelloises aux couleurs nationales noir-jaune-rouge et c’est une bonne idée. Des pères fouettards dorés ont fait leur apparition aux Pays-Bas, mais aussi à Louvain et à Gand. Pour nous, c’est une bonne solution. Nous l’applaudissons et nous l’encourageons. ». Tu m’étonnes ! Le courage ne fait certainement pas partie des caractéristiques de l’Unia.
En même temps, que pourrions-nous attendre d’une institution qui a, au sein de son conseil d’administration et de sa direction, des membres de partis politiques progressistes néerlandophones ainsi que leurs pendants francophones tels que Groen (Écolo) mais aussi celui du Socialistische Partij Anders (PS) et de l’Open Vld (MR).
De plus, c’est un véritable repère de pseudo « humanistes » dont des hauts responsables d’associations pro-migrants et de défense des droits des africains.
Les prises de position d’Unia ne sont donc guère étonnantes …

Pour vous donner une petite idée et, vu que cet article traite du folklore, je vais prendre l’exemple du carnaval.
On peut ainsi admirer un rapport sur « le carnaval et les limites à la liberté d’expression ». Voyez-vous ça … C’est toujours délicieux lorsqu’on place « limites » et « libertés », deux termes antinomiques, côte à côte dans la même phrase.
Savez-vous pourquoi il faudrait donc « limiter » la liberté d’expression lors du carnaval ? Je vous le donne en mille : « Les cortèges de carnaval et les fêtes populaires regorgent (souvent) de représentations stéréotypées de minorités. ».

Tout est dit …
On peut donc constater factuellement que notre degré de liberté d’expression dépend donc de la composition ethnico-religieuse du paysage démographique du pays.
Ainsi, plus il y aura de personnes immigrées de cultures, religions, civilisations différentes, et donc de « diversité », et moins nous aurons de liberté de paraître, de créer et, in fine, de nous exprimer. Ce que nous pouvons, par ailleurs, vérifier avec la sortie de lois et de mots-valises tels que « lutte contre la haine – discrimination – islamophobie – racisme – etc. ».
Le pire étant que de nombreux citoyens acceptent docilement la réduction de leur liberté.
Comme dirait Étienne de La Boétie : « ils n’ont pas seulement perdu leur liberté mais bien gagné leur servitude. ».
L’Unia étant l’instrument d’État, permettant cette soumission sous l’argument de la morale et du « vivre-ensemble ».
Je me demande bien pourquoi les néerlandophones, ces méchants « fascistes », ont quitté cette mascarade qu’est l’Unia …

  • L’ONU :

Vous vous dites, sans doute, que c’est terminé ? Et bien non !
Parce que même l’ONU, oui mesdames, mesdemoiselles, messieurs, l’ONU s’est impliquée dans la polémique !

De fait, la commission du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a envoyé un questionnaire aux Pays-Bas en 2013.
Mais cela ne s’arrête évidemment pas là, parce que : « interrogée à la télévision néerlandaise, l’une des inspectrices onusiennes, Verene Sheperd a été plus loin : elle affirme qu’en ce qui la concerne, le Père Fouettard est offensant, et a donc demandé au Premier ministre Mark Rutte d’agir. Pour elle, le père Fouettard n’est rien d’autre que la « caricature d’un Africain soumis« . ».
Cette femme, qui ne manque pas de culot, est même allée jusqu’à demander de « supprimer la fête de Saint-Nicolas pour ne conserver que la fête de Noël. « Y a-t-il un problème avec le fait de n’avoir qu’un Père Noël, pourquoi devez-vous avoir deux Pères Noël ? », a-t-elle demandé. ».

Verene Sheperd : visiblement une personne totalement impartiale et objective dans cette polémique …

En ce qui me concerne, je conseille amicalement à madame Sheperd de se pencher sur les traditions et cultures de l’excision des femmes dans de nombreux États africains mais aussi au sein de pays arabes.
Mais peut-être préfère-t-elle critiquer et porter atteinte aux mœurs et folklores des autres civilisations plutôt que de celle dont elle est issue ou au, minimum, à laquelle elle s’identifie …

Et oui. Insulter une culture que l’on ne connaît pas, dont on ne fait pas partie et la rabaisser à ses propres considérations et perceptions est la spécialité de l’ONU dont madame Sheperd.

Une nouvelle fois, que pourrions-nous attendre d’une organisation internationale qui s’immisce dans la politique et la gestion d’état sans aucune légitimité démocratique et qui affrète des avions pour exporter directement des centaines d’immigrés directement en Europe ?

Exportation directe par avion de 154 « réfugiés » éthiopiens vers l’Allemagne. Un autre vol, cette fois-ci comprenant 220 « réfugiés », est prévu à la mi-novembre.
Quelle chance ont les femmes allemandes et européennes quand même …

Qui de mieux pour incarner la morale, l’humanitaire et les droits de l’Homme que cette organisation ? Après tout, l’ONU est championne en ce qui concerne les trafics sexuels, humains et de minerais et ce, sans compter, évidemment, son implication manifeste dans l’épidémie de choléra à Haïti causant près de 10 000 décès …

Célhia de Lavarène : « L’ONU se soucie peu de la question des abus sexuels »

Et il n’y a là que quelques uns des nombreux crimes et scandales que l’organisation dissimule, et ce la plupart du temps avec brio, je me dois bien de l’admettre.
Je n’ose imaginer ce dont nous n’avons pas connaissance …
Je conseille donc charitablement à madame Sheperd et, plus globalement, à l’ONU de nettoyer chez eux avant de venir oser critiquer les us et coutumes des autres …

  • Conclusion :

Les conséquences de ces polémiques sont bien dommageables.
La « problématique » du père Fouettard en est un simple et triste exemple, mais nous devons prendre de la hauteur par rapport à cette affaire, parce qu’elle est un symptôme qui est révélateur de grands maux et des dangers manifestes qui couvent actuellement au sein de notre notre société.

En effet, non contentes d’être des attaques directes envers la culture, traditions, figures, fêtes chrétiennes et occidentales elles sont, de plus, des éléments factuels démontrant la transition démographique, religieuse et civilisationnelle en cours dans nos pays, ce que Renaud Camus, appelle le « Grand Remplacement ».

Ce que l’on nomme abusivement et par convention « minorités » commence à démontrer la véracité, par leurs actions et revendications, de ce dont prévenaient les « odieux fascistes et complotistes d’extrême droite ».
Le changement se fait désormais sentir. Le choc civilisationnel se marque de plus en plus.

Nous devons donc vivre dans une société aseptisée où ce sont les natifs et la « majorité » qui doivent s’assimiler et se soumettre aux étrangers ainsi qu’aux prétendues « minorités ».
N’est-ce pas la définition même d’une colonisation ?
Sans doute ces gens ont oublié l’adage : « à Rome, fais comme les Romains ».

Et je vous prie de croire que ces coups d’estoc envers la culture occidentale, chrétienne et blanche ne sont qu’un début.
En effet, entre le révisionnisme et l’aliénation de l’Histoire, de la linguistique, de la science et une propagande constante qui imprègne l’éducation nationale mais aussi la culture populaire, les cours de justice des tribunaux et l’ensemble des médias, il faudra peu de temps avant que les citoyens n’oublient et renient irrémédiablement leur identité et en viennent à accepter docilement et à leur détriment l’inacceptable.
Aucun doute que d’ici une dizaine d’années, à ce rythme, notre société, ses lois, ses mœurs auront radicalement changé et pas dans le positif.
Nous pouvons, par exemple, constater, outre le changement des traditions et de leurs libellés, ce qui peut sembler n’être que des modifications anecdotiques et innocentes, du moins en apparence, des changements bien plus graves tels que la judiciarisation de la liberté d’expression et de création, une interdiction de la critique ainsi que de la remise en cause de visions de l’Histoire mais aussi le retour du délit de blasphème. Cela a déjà bien commencé et ne fait, en réalité, à l’heure actuelle, que se normaliser et s’inscrire profondément au sein de la société …

Croire que mélanger des cultures, religions, populations, civilisations qui sont ou ont été historiquement hostiles, conflictuelles entre elles, qui ont des intérêts divergents et penser que les réunir sans nécessité d’intégration, en rendant responsable de tous les maux les autochtones et sans fixer de réelles limites démographiques serait une « chance pour nous », qu’il n’y aura pas de conséquences, est la démonstration d’un manque cruel de connaissances historiques et politiques mais est aussi la preuve, au minimum, d’une profonde naïveté ou d’un plan savamment orchestré …

D’ailleurs, en parlant de « naïveté », il est ironique de constater que ceux qui alimentent ces polémiques sont généralement les mêmes qui prétendent lutter contre les partis qu’ils considèrent « identitaires », ce qui est particulièrement cocasse étant donné que ce sont eux qui, en réalité, nourrissent ces mouvements et leur permettent de gagner, à chaque « controverse », de nouveaux adhérents et militants.

Afin d’étayer cette démonstration et de rester dans le cadre de la polémique liée au père Fouettard, il suffit de se pencher sur le parti du « Vlaams Belang » en Belgique.

On en revient à ce que je déclarais au sein de mon article sur les polémiques liées à Halloween : « Dans le cas où vous souhaiteriez réellement continuer à nier le phénomène « d’envahissement », de « grand remplacement » imposé aux peuples occidentaux, je vous conseille, personnellement de changer de stratégie … Parce que, entre nous, vous donnez beaucoup de grains à moudre à cette fameuse « extrême droite » que vous feignez de haïr si ardemment mais dont vous légitimez pourtant l’existence par vos actions et prises de positions. ».

Plutôt que de hiérarchiser et d’essentialiser les souffrances et maux que subiraient les personnes au sein de la société en fonction de leurs origines ethnico-religieuses, la gauche victimaire et les « minorités » autoproclamées devraient se rappeler que blanc, rouge, jaune, noir, nous sommes tous jetés dans la même fosse aux lions afin d’enrichir, de divertir et de servir les mêmes « maîtres ».
En fin de compte, beaucoup ont oublié qu’au fond de la mine, nous sommes tous noirs …

Liberté de Pensées

Sources :

Père Fouettard :

Loi Taubira et révisionnisme de l’Histoire :

ONU :

L’excision et mutilations sexuelles des femmes :

Unia :

Esclavagisme :

Transition démographique :

Images utilisées :

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